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Courage du cœur, audace et responsabilité : agir avec vérité et dignité pour construire une société plus juste et humaine

  • Copro
  • 9 juin 1980
  • 12 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 juil.

Le courage du cœur et l’audace : fondements de la qualité humaine et de la société de demain

Lorsqu’il s’agit d’un ami, d’un proche ou simplement d’une personne envers laquelle on ressent de l’affection ou de la solidarité humaine, le fait de ne pas aider prend une dimension particulière. L’amitié et l’amour reposent sur la confiance, le soutien mutuel et la bienveillance. Dans ces relations humaines entre chacun de nous, l’attente d’aide est souvent plus forte, et l’absence de réaction peut être perçue non seulement comme de la lâcheté, mais aussi comme un manque d’amour ou de loyauté. Aimer, c’est aussi parfois prendre des risques pour l’autre, oser agir ou, à tout le moins, chercher de l’aide pour lui.

Mais à l’heure des grandes désillusions, il nous faut regarder, le cœur battant, si la police et les acteurs de la justice oseront prendre leur part de responsabilité sur l’essentiel. Seront-ils capables de voir l’humain derrière le dossier, de tendre la main là où l’indifférence a déjà fait tant de ravages ?


2. L’amour universel, la solidarité et la dimension scientifique

Au-delà du cercle intime, l’amour des autres nous invite à ne pas rester indifférents à autrui. Ne pas aider, c’est choisir de fermer les yeux sur la détresse humaine, c'est un manque de solidarité. La société progresse en encourageant cette humanité et solidarité, car elle fonde la cohésion et la confiance entre les individus.

L’histoire nous enseigne que ce sont des élans de solidarité concrets, galvaudés par la réflexion et l’audace, qui ont permis de faire tomber des barrières et de bâtir des avancées sociétales.

Nous verrons si, devant la possibilité de sauver une vie dont la fin a déjà été dite droit dans les yeux et par écrit, la justice saura dépasser ses automatismes. Ou bien n’est-elle qu’un système, avec ses faiblesses et ses forces d’apparatchik, ou une valeur réelle et vivante portée par ses institutions ?


3. Le courage de ses valeurs, la dignité, l’intégrité et l’humilité humaine

Aider autrui, c’est aussi avoir le courage de ses valeurs, de ses idéaux et de la vérité. Il s’agit là d’une véritable question morale de dignité et d’un devoir humain d’intégrité qui doivent nourrir chaque vraie relation. Ce courage ne consiste pas à imposer son point de vue, à être extrême ou à se montrer démagogique, mais simplement être fidèle à ce que l’on estime juste, tout en respectant la liberté et la différence de l’autre. L’intégrité, c’est agir avec conscience, sans chercher à briller ou à juger, c'est accomplir ce qui est nécessaire et juste, même si cela nous demande un effort ou de prendre un risque.

Reconnaître, avec humilité, que personne n’est parfait fait aussi partie de ce courage. Chacun possède ses propres forces, ses limites, ses peurs et ses faiblesses. Admettre sa vulnérabilité, reconnaître qu’on ne peut pas toujours tout faire ou tout affronter, est aussi un acte de courage et d’humanité. Admettre son manque de courage est aussi de l'honnêteté. Cette humilité rend nos choix plus authentiques et nous rend profondément humain. Je sais profondément, sans détour, sans mensonge, quelles ont été mes erreurs, mes faiblesses, mes responsabilités, mes illusions, mes désillusions et parfois le mal fait, oui....

Le courage véritable se mesure à la grandeur des actes posés, malgré ses limites, et les assumer pleinement.

Nous respectons les institutions, mais force est de constater que trop souvent, leurs acteurs s’égarent loin de l’essentiel, s’attardant à des broutilles, laissant de côté des faits connus depuis des années. Nous allons regarder cette justice faire son œuvre, d’un ton en retrait, mais non sans une pointe de lucidité désabusée.


4. Le rôle et la responsabilité des juges et policiers

Pour les juges et les policiers, la question de l’aide à la victime revêt une dimension professionnelle et éthique. Les policiers ont pour mission première de protéger les personnes et de porter assistance à toute victime. L’inaction de leur part peut être non seulement perçue comme de la lâcheté, mais aussi comme une faute professionnelle, voire une violation de leurs obligations légales.

Les juges, quant à eux, ont la responsabilité de rendre justice et de veiller à la protection des plus vulnérables. Leur impartialité ne doit pas les empêcher de faire preuve d’humanité et de compréhension envers les victimes. Lorsqu’une institution ou un représentant de la loi ne porte pas assistance, cela peut ébranler la confiance dans la justice et l’État de droit. Le courage, dans ces fonctions, consiste aussi à défendre les droits et la dignité de chacun, même face à la pression ou à l’indifférence ambiante.

Les acteurs chargés de rendre la justice et d’assurer la sécurité publique sont confrontés à une tâche d’une complexité considérable, face à la multitude d’injustices et d’insécurités auxquelles ils doivent répondre. Pourtant, leurs propres erreurs, leurs imperfections ou encore leurs faiblesses non assumées créent de nouvelles victimes, et brisent la crédibilité réelle et l’efficacité de leurs actions et de leur rôle. Lorsque la confiance dans ces institutions vacille, c’est la société tout entière qui en pâtit, car la légitimité et la capacité des acteurs à protéger et à garantir les droits de chacun s’en trouvent durablement affaiblies.


La réalité de la police et la justice face à la réalité humaine

Parfois, il est nécessaire de prévenir les victimes : la police, même lorsqu’elle agit avec de bonnes intentions, adopte souvent un ton professionnel qui peut paraître distant, voire glacial. Mais il arrive aussi, malheureusement, que certains policiers manquent de professionnalisme ou d’empathie, et que la détresse d’un enfant, la veille encore embarqué, soit la seule à trouver la force de franchir la porte du commissariat pour protéger ses proches. Les regards, les mots échangés près du bois de Mérode, Mazerine restent gravés : ils ont tué un enfant, et continuent de blesser, et tue encore et encore jusqu'au jour final.


Un policier expérimenté m’a récemment demandé s’il était reconnu : en réalité, oui, mais sans certitude absolue, et d’un certain côté tant mieux, car je n’affirme jamais rien sans certitude et je reconnais toujours le droit de se tromper. Ce qui m'importait vraiment, c’est d’avoir en face de soi un policier qui exerce son métier avec neutralité, mais aussi avec recul, humanité et bienveillance.


Trop souvent encore, même au nom de l’expérience de ce simple policier certes assermenté, on entend dire que le droit ne s’interprète que d’une seule manière: une vision tellement réductrice de.la réalité qui oblige parfois les victimes à se justifier, à revivre la honte de certains propos, et à porter le poids d’un regard qui ne devrait jamais être jugeant. Nous allons l'interpeller sur plein de notions déjà pas respectées dans sa zone, de ses règlements, du droit et du règlement général de police qu'il ne maitrisait pas spécialement selon les apparences.


Ainsi, lorsque ce policier me demande si je conseille de porter plainte à une femme violentée, la réponse du cœur est clairement oui – mais accompagné (et je leur proposerai de trouver cet accompagnement) - car pour parler avec beaucoup de réelles victimes ce n'est pas facile, d'avoir 11de policiers vraiment professionnels, capables d’accueillir la pluralité du droit et la complexité des situations humaines, et pas enfermés dans une seule interprétation. Ceux qui s’enferment derrière leur écusson en affirmant, de manière péremptoire, qu’il n’existe qu’une seule version du droit sous prétexte qu’ils ont prêté serment, passent à côté de nombreuses notions essentielles de la vie humaine et du droit aux multiples facettes interprétées de tellement de façon par les juges. Ils devraient envisager de suivre à nouveau une formation sur l’interprétation de certains textes, dont la maîtrise lui fait manifestement défaut à bien des égards.


En outre, je défendrai toujours ses acteurs pour dire leur réalité, dont je n'ai qu'une infime et humilité connaissance, devant la multiplicité de leurs tâches et des moyens donnés induffidanrs: pour mettre en œuvre une belle police et justice. Leur boulot est tellement ingrat comme la lecture au premier degré de ce texte.


Il m'est important de souligner que, même si ce texte soulève des réflexions profondes sur les acteurs de la justice, les policiers, les acteurs du droit et les juges, nous serons toujours les premiers à les défendre publiquement et sincèrement. Nous avons pleinement conscience de la difficulté et de la multiplicité de leurs tâches, souvent exercées avec des moyens pauvres et bien réels. Leur engagement quotidien, parfois dans l’ombre et dans des conditions complexes, force le respect et mérite toute notre reconnaissance. La critique, lorsqu’elle existe, se veut constructive et vise à encourager une justice toujours plus humaine, sans jamais remettre en cause la valeur et le dévouement de ceux qui la servent.


5. La nuance de la réalité

Il est essentiel de reconnaître que la réalité est souvent complexe. Les situations ne sont pas toujours claires, les enjeux peuvent être multiples, et chacun agit en fonction de ses moyens, de ses peurs, de son histoire. Le courage d’aider ne doit pas être confondu avec l’inconscience ou l’extrémisme. Il s’agit d’un engagement réfléchi, respectueux des autres et de soi-même, qui tient compte des circonstances et des limites humaines. L’humilité de reconnaître ses propres limites, tout en agissant selon ses valeurs, fait aussi partie de la dignité humaine. Il est aussi essentiel de reconnaître que le secret de la vie privée ou professionnelle est toute relative et sujette à l’interprétation. Les règles qui protègent le secret professionnel, judiciaire ou même la réputation, privilégient souvent la subjectivité et l’apparence au détriment de la vérité matérielle ou des faits concrets. Ainsi, il arrive que, par devoir ou par crainte de calomnie, nous soyons condamnés à taire la réalité, même face à nos proches. Cette tension entre protection et vérité rappelle que la société préfère préserver l’image que le réel, et que le courage consiste à choisir, avec discernement, ce qui doit être dit ou tu. Reconnaître ses faiblesses, ses limites démontre aussi la grandeur de l'humain.


Il faut également souligner que beaucoup ne veulent pas réellement savoir ou comprendre la situation d’autrui, s’enfermant dans des jugements hâtifs et subjectifs, et refusant de se confronter à la réalité ou de prendre connaissance de l’ensemble des éléments. L’humilité doit nous inviter à remettre en question nos propres valeurs et principes, à sortir de nos certitudes et à assumer pleinement la responsabilité de nos actes et de nos choix. C’est un devoir personnel et humain envers autrui.


Reste à voir si la justice réprouve vraiment les actes moyens ou majeurs, ou si elle se contente de poursuivre les petits crimes, oubliant parfois le cœur du problème. Nous avons déjà vu les priorités à multiples reprises en cas de violence, incendie, vol, violation de domicile, escroquerie, abus de confiance, maltraitance, coups et blessures,... à Rixensart, mettez avec du Rammstein 1 minute et cela fera venir les policiers plus rapidement devant un domicile de Paola Connor où le CPAS laisse ses camionnettes la nuit mais tout en étant lâche devant un rapport de Respect Senior cautionné par ses soins. Priorité apparemment, tellement mea culpa vraiment, tout en espérant qu'il n'y ait pas eu de réelles urgences et priorités qui auraient du demander diligence des services dont on a pu calculer normalement des délais d'intervention plus longues ou inexistantes.


6. Prendre ses responsabilités, dire la vérité et défendre le juste

Refuser de prendre ses responsabilités, se taire alors que l’on connaît la vérité, ou ne pas défendre ce qui est juste, sont des formes de lâcheté. Le courage ne réside pas à réaliser certains actes, c'est surtout assumer pleinement ses devoirs moraux, à dire la vérité même lorsque cela expose à des risques ou à l’impopularité, et à défendre la justice face à l’injustice. Il faut avoir le courage de ses actes et de ses responsabilités : assumer ses choix, porter haut ses valeurs, et ne pas reculer devant l’engagement que réclame la justice ou la vérité. La société ne peut progresser que si chacun assume ses responsabilités, d’agir selon sa conscience et d’incarner ses valeurs dans ses paroles et ses actes.

Et si toutes ces procédures, tous ces titres, ces assermentations, ne sont que des habits de parade, sans garantie d’action ni d’implacabilité, alors comment s’étonner que la confiance s’effrite, que les gens n’y croient plus ?


7. L’audace, le courage moral et les avancées de la société

Le passé enseigne que le présent et l’avenir se construisent par les actes de chacun. La société se construit grâce à des gestes courageux et profondément humains, accomplis par des personnes qui ont su faire preuve de moralité, parfois au détriment de forces contraires, de pressions sociales ou de leurs propres intérêts. Ce sont ces actes, petits ou grands, qui font avancer la justice, la solidarité et la confiance collective. L’histoire regorge d’exemples où des individus, par leur engagement et leur fidélité à leurs valeurs, ont permis à la société de progresser, de s’humaniser et de se rapprocher de l’idéal de fraternité. Certaines avancées majeures – qu’elles soient sociales, juridiques ou humaines – n’auraient jamais vu le jour sans le courage de ceux qui ont osé agir différemment, franchir certaines limites souvent contre l’opinion dominante ou au prix de sacrifices personnels. Le courage moral, exprimé en action, élève l’ensemble de la communauté, et c’est ainsi que des progrès essentiels sont réalisés.

Nous attendons notre heure, de voir si la justice répondra à l’appel du cœur. Mais aujourd’hui, force est de constater que le cœur et l’humanité ne brillent plus vraiment.


Conclusion

Cet article appelle surtout chacun à une réflexion profonde sur le sens de ses valeurs, de ses actes et de ses responsabilités. Il invite à l’introspection et à l’autocritique, tout en reconnaissant que la société ne sera jamais parfaite, car l’humain est imparfait et tant mieux sur bien des aspects. Mais cette imperfection, cette diversité d’opinions et de parcours, fait la richesse de notre société et doit être source d’inspiration et de progrès, où chacun se nourrit des autres.

Ne pas aider quelqu’un quand on connaît la vérité et l'injustice est une lâcheté, de l'hypocrisie et ne rend pas grand l'humain.


La réalité scientifique doit nous apporter du sens et des repères. Elle doit aussi nourrir nos valeurs et guider nos actions pour bâtir réellement une société plus juste et plus solidaire pour aujourd'hui et demain.


Et c’est grâce à l’audace, au courage moral de certains, et à leur capacité à agir face à l’adversité, que la société avance et que de véritables avancées voient le jour pour le bien de tous. Le passé en témoigne : chaque acte juste posé aujourd’hui façonne le monde de demain. Enfin, il ne faut jamais oublier que les intentions, aussi nobles soient-elles, ne prennent pleinement sens et valeur qu’à travers les actes concrets qu'on pose. Ce sont nos gestes, petits ou grands, qui concrétisent la sincérité de nos valeurs et la réalité de notre engagement envers autrui et la société. Les actes posés par chacun, chaque jour, sont ceux qui construisent le présent et l’avenir, ainsi que les réelles valeurs d’aujourd’hui et de demain qu'on veut réellement prédominer ; donc, ayons vraiment le réel courage de nos valeurs et de nos actes.


Que la justice redevienne la lumière du cœur, et que l’humain soit toujours sa première priorité. Soyons avant tout amplement humain.


Soyons avant tout amplement humain.


Le rendez vous est déjà pris le 20 mai maximum et je serais content de ne pas lire le dernier constat, ou je jouerai les règles sournoises de l'assurance pour mes proches que je protégerai comme tout autre humain.


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La mort : un choix délibéré, éclairé, parfois heureux, et une question de dignité humaine

Dans de nombreuses cultures et traditions, la mort est souvent perçue comme une fatalité, une épreuve subie ou un événement redouté. Pourtant, il existe une autre façon d’envisager la fin de vie : celle d’un choix délibéré, mûrement réfléchi, parfois même accueilli avec sérénité, voire avec bonheur.

Un acte de lucidité et d’autonomie

Pour certaines personnes, choisir le moment et la manière de quitter la vie n’est ni un acte de désespoir ni une fuite, mais bien l’expression d’une profonde lucidité. C’est la volonté de rester maître de son destin jusqu’au bout, de ne pas subir une agonie prolongée, une souffrance insupportable ou une perte totale d’autonomie. Mais il est important de souligner que ce choix n’est pas uniquement réservé à ceux qui souffrent d’une maladie incurable ou d’une douleur extrême. Il peut aussi être le fruit d’une réflexion sereine, d’un désir d’achever son parcours de vie dans la paix, la joie et la cohérence avec ses propres valeurs.

Une liberté fondamentale et une question de dignité

Dans les sociétés qui reconnaissent le droit à l’euthanasie ou au suicide assisté, la possibilité de choisir sa mort est considérée comme une liberté fondamentale. Mais au-delà de la liberté, il s’agit aussi d’une question de dignité humaine. Pouvoir décider du moment et des conditions de sa propre fin, même sans souffrance physique ou psychique, c’est affirmer le droit de chacun à rester digne, à ne pas s’imposer une existence qui ne correspond plus à ses souhaits ou à sa conception du bonheur.

Le respect de cette décision, lorsqu’elle est prise en toute conscience et sans contrainte, est une façon de reconnaître la dignité intrinsèque de chaque individu, jusque dans ses choix les plus intimes.

Un choix parfois heureux

Il arrive que ce choix soit vécu non dans la tristesse, mais dans la plénitude et la joie. Pour certains, savoir qu’ils peuvent partir quand ils le souhaitent leur apporte une forme de soulagement, de réconfort, voire de bonheur. Ce choix peut être motivé par le sentiment d’avoir accompli ce qu’ils désiraient dans la vie, de vouloir partir avant la dégradation, ou simplement de choisir le moment qui leur semble le plus juste. Cela leur permet de dire adieu, de régler leurs affaires, de transmettre des messages d’amour, et de quitter ce monde sans peur, ni regret, ni souffrance inutile.

Un sujet délicat à aborder avec respect

Reconnaître que la mort peut être un choix délibéré, heureux et digne, même en l’absence de maladie ou de souffrance incurable, c’est aussi respecter la diversité des parcours de vie et des sensibilités. Ce n’est pas nier la douleur de ceux qui restent, ni banaliser le geste, mais affirmer que la liberté de disposer de sa vie – et donc de sa mort – est une dimension essentielle de la dignité humaine.

En définitive, la mort, loin d’être toujours subie ou liée à la souffrance, peut parfois être un acte de liberté, de lucidité, de dignité et d’amour de soi. C’est un choix qui mérite d’être entendu, compris et respecté, dans toute sa profondeur et sa gravité.

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